Winter break (1) - Champagne, confettis et autres désagréments

Retour aux manettes de mon blog après de longues semaines trépidantes. J'espère que vos crises de foie et autres overdoses de petits fours vous ont fait oublier la douleur de mon absence bloguesque.

Début d'un récit en plusieurs épisodes, de mon bref passage à Paris à mon retour épique dans ma partie, les States.

Les deux semaines passées à Bois-Colombes beach se sont écoulées à la vitesse d'un cheval au galop qui essaie de rattraper la marée montante de la baie du Mont Saint Michel.
D'abord, retrouvailles surprise à Roissy à six heures du matin. Il faut vraiment avoir des amis qui vous aiment pour les retrouver cachés (ou assoupis) derrière un pot de fleur dans un aéroport à l'aube. Merci mille fois, rien n'aurait pu me faire plus plaisir.
Ensuite, retour à la maison, petit déjeuner, puis déjeuner, enregistrement du Grand Journal pour entretenir ma célébrité parisienne, et dîner avec les mêmes, mes Essentiels.
A partir de là, difficile de retrouver la chronologie des journées chargées qui se sont suivies: fêtes de Noël à répétition, retrouvailles avec Lui, tournage de film au scénario douteux (le roi Arthur de l'an 2008, né dans un squat cherche le Saint graal du shit dans son garage... hum...), exposition au musée du Luxembourg, grande roue à Asnières, parties de Wii à en avoir des courbatures, café avec des Tuftiens, courses avec Maman, dîner avec papa, et enfin, nouvel an, nouvel an bis, grand rangement, et départ un peu précipité.







Retour sur Boston, finalement. Difficile de repartir après ces retrouvailles. Deux semaines, c'est trop court et trop long à la fois. Trop court, parce que l'on veut tout faire, tout voir, profiter de tout le monde et ne vexer personne, rattraper le temps perdu, profiter de Paris, retrouver ses marques. Trop long parce qu'alors qu'on commence à y arriver, on doit déjà repartir.
Pour de nouvelles aventures, me direz-vous...